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Qu'est ce que la Géo-Anthropologie ? Qu'est-ce que l'anthropologie pluraliste ?


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Science crisis :
For Jacques Lacan, it was understood that Science was only the ideology of the deletion of the Subject. I would not be so radical in my thinking : we can still fight for the word "Science" by distinguishing more clearly the product of free investigation of the world, and public or private employment of thousands of "intellectial workers" at the service of a production of graded thoughts. The more so, since scientific vitality and its capacity of discovery is today directly threaten by techno-cognitivism, the ideology at the heart of alll framing of the production on licit utterances.
The researchers' dilemma can today be summed up as followed : either to recognize that they are not working for science anymore but for a huge "machine", at the service of so called "societal emergencies", or to resist , in a largely extra-institutionnal manner, where they may loose the advantage of formal recognition and status.

Structural anthropology :
Cultural phenomenons are often made up of structures more or less hidden which interlock them : as demonstrated by Claude Levi-Strauss, the role of maternal uncle is in structural relation with the role of the father : their variations are symetrical. When the father is the authoritative figure, the uncle is the friend of the child, and reversedly. More generally, there exist underlying structures linking independant phenomenons : as kinships types or relations types between man and animal, as observed by Philippe Descola. For this anthropologist there are four main types of human/animal relationships, each one symbolized by a type of bird : - the "cartesian parrot" shares a physical continuity with man : nature is a machine including birds and animals.
-the "amazonian toucan" is considered by Jivaros as a brother in law. Nature is our family.
-The "mexican vulture" is a projection of a the human spirit : bodies are different but the mind is the same. Nature is our extension.
-The "australian observer/versus birds of prey : the diversity of roles in the animal society is like the diversity of human roles.Nature is our "mirror".
Just as if human beings could only choose their imaginary and symbolic frames within limited registers of simple and formal oppositions. Some comparatists like Georges Dumézil and Mary Douglas stretch this analysis to global social facts. According to them every society follow logical oppositions which structures it. We continue on this research path and apply it to contemporary and global societies. We also try to give an account of the structural tendency by explaining it not through a characteristic of the human spirit in general, but through the specific "conversationnal realization" of the metaphor, this universal speech act. For instance, the tendency of our western societies to organize themselves through the self-denying metaphor of a perfectly adjusted machinery of human relations, is not an effect of pure logic applied to political science, but it is induced by our regional strong belief in the power of mathematics in defining exactly measurable and computable human activities and positions. On the contrary, eastern societies tend to imagine human destinies through harmonious balance between poetic principles like darkness and humidity or light and dryness. Computing those antithetic principles produces a numerology and not a science, and always need private and singularized interpretation. We can assume today that both western and eastern positions remain in competition, and that the apparent victory of the western metaphor (which leads us to believe it is enough to strictly regulate a game to win everytime) might be overwhelmed by a richer way of expressing the human condition.
Voir aussi : Anthropologie structurale, Antagonisme, agonicité, Anthropology

Syndémologie :
La syndémologie est la discipline qui, restreignant l'universalité sans rivages de la sociologie, est précisément établie sur l'observation du "peuple ensemble", notamment dans l'émergence des décisions collectives qui aboutissent à des systèmes de catégorisations réciproques en compétition. Elle correspond en gros à la sociologie des champs selon Pierre Bourdieu, mais elle doit tenir compte de l'irréductibilité de ses composantes (et pas seulement du phénomène de domination).
Voir aussi : antisociologie, Anthropology

Système :
Nous n'utilisons ce mot polysémique (et favori des ingénieurs) que dans un seul sens : le Système (ou mieux Lesystème) est l'organisation mondiale des êtres humains aujourd'hui. Ce n'est plus seulement ce qu'il était depuis Christophe Colomb : une organisation maritime des rencontres avec les cultures autres et des compétitions entre Occidentaux, ou encore la résultante de la confrontation de groupes "alignés" en deux colonnes (Ouest et Est). C'est une "chose" indéfinissable parce qu'incomparable à quoi que ce soit : une réalité unaire (sans terme de comparaison), unitaire (au travers de la densité des collaborations internationales et intergroupales ou individuelles de toute nature), unicitaire (au sens où il est unique dans notre région du cosmos, et cela de manière parfaitement incongrue par rapports aux phénomènes vitaux, toujours divers, variés et pluriels). Le système (qui s'inaugure par exemple par les "crises systémiques") n'est, pour le moment pas pensable par la philosophie ou le droit, s'appuyant encore sur l'idée -en cours de rapide obsolescence- de "peuples". Il ne fait pas monde pour ses habitants, puisqu'il définit la position et l'essence de chaque habitant comme membre. Etant nous même la société-monde, nous n'avons plus de monde autour de nous, et donc plus de rencontre possible avec l'altérité, devenue "membre" comme chacun de nous. La tendance du Système est de faire système de tout ce qui lui résiste et notamment des différences entre société, genre et espèce. La monstruosité du système n'apparaît pas nettement, tant qu'il n'est pas suffisamment achevé, et tant que "la gouvernance mondiale" ne s'exprime pas directement au nom de l'espèce, puis au nom de la vie. Bien que nous nous y acheminions (comme l' a vu Michel Foucault) au nom de la raison universelle, il est possible qu'un éclair de lucidité nous traverse quand un dirigeant nous expliquera comment l'espèce doit survivre. Il sera alors possible d'affirmer publiquement que l'espèce humaine n'appartient pas à l'humanité, pas plus que l'humanité (comme corps politique) n'appartient à l'espèce. Là commencera peut-être une divergence, dont le sillon pourra fracturer l'idée même du Système. D'autres représentations s'y opposeront peut-être aussi : l'idée que la vie est foisonnement à toutes les échelles, et non simplification sous l'égide de l'imaginaire appauvri par le langage.

sciences humaines :
La notion de science humaine n'est légitime qu'en respectant certaines maximes :
1. On ne réduira jamais l'acte que je suis en train de réaliser à son explication : en conséquence il n'y a pas de science de l'acteur, mais au mieux une herméneutique de l'action.
2. La science humaine est, comme toutes les sciences, une activité humaine et ne peut donc être analysée comme pur objet, car elle dépend elle-même de son engagement stratégique. La science est partie prenante du conflit humain (et pas seulement comme constitutrice de savoirs utilisables pour la guerre).
3. On approche d'un meilleur savoir, et donc d'un savoir plus autolimité, quand on admet que le point de vue automatiquement associé à sa discipline de référence est un point de vue engagé, même s'il s'ignore comme tel. Il faut tenir compte de l'anamorphose de l'objet par le sujet de la science, spécialement en science humaine.
4. Dès qu'elle sont considérées comme objectives, les sciences dites humaines peuvent entraîner des expertises utilisables par les pouvoirs. Ces expertises peuvent justifier des décisions inhumaines, et particulièrement difficiles à prendre (sans cela on n'aurait pas besoin de l'expert).
5. Le trait éthique décisif de la personne s'engageant en sciences humaines consiste à prendre en compte son propre engagement de point de vue dans l'assertion qu'elle est tentée de produire, via des chiffres ou d'autres données découpées dans le réel en fonction de sa problématique.
6. Aucun isolement dans la discipline spécialisée (supposée support de l'approche la plus "objective") n'est, de ce fait,admissible, pour autant que cette spécialisation même dépend de l'organisation stratégique du champ des connaissances, qui se trouve donc être la détermination la plus profonde du champ et des objets perçus et produits.
7. Le rapport du chercheur en sciences humaines à la vérité réside en ce que cette dernière ne concerne pas son objet de recherche, mais l'organisation visant à la constituer dans une certaine optique. Résister à l'opinion institutionnelle est donc un devoir, autant que de résister aux opinions diverses représentant des courants d'influence variée quand à la conception du Vrai.
8. Ce trait éthique est tout aussi bien un trait cognitif et heuristique ; c'est seulement à cette condition qu'un "savoir" se rend possible et disponible dans ces disciplines et entre elles.
9. La résistance étant une activité nécessaire très importante en sciences humaines soumises à des pressions d'autant plus fortes que leur objet semble purement "doxologique", il faut aussi résister à la résistance : c'est-à-dire devenir capable de poser un champ de recherches positives en dépit de l'encombrement de conflits, et de l'acharnement des acteurs en position d'influence. C'est là le véritable sacerdoce et combat du chercheur en sciences humaines, plus vulnérable en général que celui des sciences "non humaines".
Voir aussi : Anthropologie, médiocrité (en sciences sociales)

sciences sociales :
Qu’est-ce qu’une science sociale … de l’Homme ?

Les sciences sociales désignent un très vaste domaine de connaissances et de recherche qui coïncide plus ou moins avec l'étude des êtres humains actuels et ayant vécu dans le passé. La zoologie, l'éthologie animale, la recherche sur les populations végétales, l'étude des sociétés d'insectes ou des organismes "eusociaux" ne sont en général pas considérées comme des "sciences sociales", alors qu'elles peuvent y prétendre en toute légitimité. D'un autre côté, les "sciences humaines" peuvent aborder des aspects plus "singuliers" du genre humain, tels la psychologie ou la psychanalyse, dont le domaine est plutôt l'individu. Mais l'individu le plus isolé reste, comme humain, profondément social, ne serait-ce que parce qu'il utilise pour parler et agir des conventions produites par le collectif. On ne peut ainsi aujourd'hui, sans risque d'erreur ou d'intolérance stérile, définir séparément le "social" et "l'humain" qui occupent au fond le même territoire communément dénommé "shs" (sciences humaines et sociales), notamment dans les institutions de recherche.
Chacune des disciplines constitutives de ce vaste champ doit pouvoir travailler sur le "terrain" des autres, tout en faisant valoir la spécificité de son point de vue. Toute la difficulté, sur le plan d'une épistémologie générale des SHS, réside dans le fait que le nombre des points de vue possible paraît potentiellement illimité, car il est toujours possible de constituer en objet de recherche ce qui par ailleurs émerge comme objet d'intérêt pour tel ou tel groupe d'êtres humains dans des circonstances données. Toute proposition de recensement et de catégorisation des disciplines peut être vécue par leurs protagonistes comme fausse, biaisée ou réductrice , mais y renoncer revient à établir une liste interminable et sans organisation repérable.
Pourtant, un débat -actuellement peu développé- sur l'organisation du champ des SHS pourrait avoir des effets très heuristiques, ne serait-ce que pour éviter une fossilisation, ou un processus de "délitement" de l'élan scientifique qui anime encore nombre de chercheurs, en dépit du climat de relative confusion qui prévaut au moins dans certains secteurs de production de savoirs et de questionnements.
On peut tenter de proposer des principes qui respectent au mieux la diversité des approches des SHS sans nier pour autant qu'ils s'organisent dans une conversation. Par exemple, ceux qui s'intéressent davantage à la question de savoir ce qui se modifie au cours des temps et ceux qui se sentent plus concernés par ce qui persiste et se reproduit peuvent admettre qu'ils tendent chacun à privilégier un aspect, pour des raisons pratiques, la combinaison des deux approches étant souvent trop complexe. Il n'empêche que si l'on nomme "historiens" les premiers et "anthropologues" les seconds, (ce qui est déjà réducteur), on peut s'accorder à dire que la vérité "idéale" est sans doute située entre les deux, dans la description très difficile de processus où transformation et maintien s'articulent. Autre exemple : en admettant que la "sociologie" s'intéresse surtout à la façon dont est structurée une société donnée (considérée comme entité globale), on acceptera que la renégociation permanente de cette structure, voire des limites de l'entité globale, appartienne plutôt à une "politologie". Une science des communications (voire une médiologie) peuvent se comprendre comme médiatisations de la politique par la technologie. Une "polémologie" peut vouloir poser le conflit en objet détachable, mais elle encourt la concurrence de l'histoire des guerres et des paix, celle des relations internationales;et celle des disciplines de la stratégie.
Il est aussi possible de reconnaître que, lorsqu'on s'intéresse spécialement aux règles et aux normes de fonctionnement qui stabilisent la structure d'une société, on puisse soit les considérer à partir des énoncés juridiques (science du droit, nomologie) soit les apprécier sous leur angle quantitatif (économie).
En supposant que l'Art ou la Religion soient des réalités homogènes et stables (ce qui est très contestable), on peut en produire des sociologies, des histoires, des économies, des anthropologies (etc.),mais leur évolution ou leur dissolution dans d'autres réalités pose nécessairement le problème d'une discussion transdisciplinaire sur la consistance de ces objets "communs".
Il est aussi possible que la légitimation d'une discipline comme l'ethnologie évolue comme résistance de formes d'organisation humaine non intégrables dans ce que la macro-économie ou dans une sociologie intéressée au "Sociétal" traitent ordinairement.
Tous ces exemples montrent que la diversité des approches des SHS n'est pas purement passive : elle reflète une série de tensions, d'enjeux, de rapports de force entre orientations qui, si elles l'emportaient absolument, comporteraient peut-être des risques pour la "cité", ou pour l'individu humain. Accepter et mettre à jour ces tensions peut sembler plus utile que de les "endormir" sous le consensus du partage des fiefs académiques. De grandes contradictions nous semblent ainsi refléter dans le paysage épistémologique des sciences de l'homme et de la société celles qui partagent leur objet : ainsi les disciplines qui se penchent sur la singularité humaine peuvent-elles sembler en position défensive "contre" celles qui décrètent que "seul existe le social", à moins qu'elles n'en acceptent les attendus, cherchant désormais à adapter l'individu à la totalité; de même, les disciplines qui sont affines aux activités humaines liées à ce que Hegel appelait "le sentiment" doivent aujourd'hui se battre pour conserver une autonomie de leur champ par rapport à celles qui imposent l'énoncé d'une pure normativité (technique, cognitive ou juridique) de l'organisation humaine. Les sciences sociales sont aussi des positions prises dans le champ du social : il peut sembler intéressant, et dynamisant, de reconnaître pleinement la conflictualité latente des shs sur ces lignes de front comme sur d'autres moins visibles, plutôt que de les ignorer, derrière une façade d'unanimisme.


Voir aussi : médiocrité (en sciences sociales), éthique des sciences humaines, Antagonisme, agonicité, Anthropologie, antisociologie

sociologie :
Le mot "socius" comporte une ambivalence : usité dans la romanité dans le sens de compagnon, son étymologie plausible est bien sym-civis, à savoir ce qui vient autour du citoyen, son allié. Il s'agit alors du cercle élargi, de l'ensemble dissymétrique du "noyau dur" et de ceux qui font masse autour de lui.
L'ambiguité persiste aujourd'hui, bien que Durkheim, fondateur de la sociologie et référence encore active, mette l'accent sur la pensée collective qui unifie et égalise les destins de ceux qui la partagent.
La discipline n'a jamais cessé d'hésiter entre une acception "interne" de son champ, selon laquelle les participants se divisent, s'opposent, se hiérarchisent, se dominent, s'exploitent, etc.,et une acception "externe" qui voit surtout les ensembles synthétiques (religions, nations, etc.). Elle hésite aussi entre les niveaux et types de socialité, ce qui la conduit à des objets fluctuants et à un domaine mal délimité, ou bien à un organicisme de mauvais aloi. Pour survivre au marasme auquel conduisent les chocs de ces hésitations, il faut sans doute mieux fixer les concepts : nous proposons de bien séparer la "syndémologie" (étude du "peuple ensemble"), observant l'éthologie des sociétés face à d'autres réalités (autres sociétés ou environnements physiques), dont l'objet ne serait donc pas tout le Social, mais le Sociétal, d'au moins quatre autres disciplines-soeurs :
-la "koinologie" ou étude des formations imaginaires "culturelles", entre expression individuelle et schèmes unificateurs.
-l'émiologie, étude des groupements identitaires, des "nous", conviviaux ou militants.
-la nomologie, étude des systèmes de règles (du juridique au technique et à l'épistémique) structurant formellement les organisations humaines.
-l'anthropologie, ou analyse des champs culturels (conversationnels), qui analyse les divisions internes, moins à partir des définitions "indigènes" partagées (comme celles des classes, des corps ou des croyances) qu'à partir d'une discussion théorique de la production des divisions.

La sociologie peut bien continuer à rêver à un objet pur et total qui serait "Tout le Social", mais ce rêve risque de la transformer progressivement en tentative fantômatique. L'auto-discipline par où commence toute discipline scientifique nous semble exiger une partition, certes frustrante, mais qui a l'avantage de rendre consistante la comparaison entre l'objet des sciences humaines et les sciences humaines elles-mêmes comme objets.

(contribution à la définition de la sociologie sur Wikipédia) :

D'une façon générale, la sociologie, développée dans le contexte des Etats-Nations et de leurs collaborations au cours du XXe siècle,a anticipé avec Durkheim, Mauss, Weber ou Marx (bien d'autres encore) le "holisme" ou le "totalisme" réels qui prennent aujourd'hui le sens d'une société mondiale. Cette nouvelle réalité révèle un aspect de la sociologie comme participant à un mouvement vers cette totalisation. Et réciproquement, la société-monde, qui seul réalise le modèle sociologique,en démontre aussi le caractère idéologique, au service d'un idéal. Certains traits pathologiques liés à la globalisation apparaissent seulement aujourd'hui dans toute leur ampleur -même s'ils ont été précédés par les phénomènes avant-coureurs des totalitarismes. Mais si les sociologues, tout scientifiques qu'ils se veuillent, se dévoilent dès lors comme les militants d'une cause qui a triomphé (l'extension de la conscience collective au plan mondial-, faudrait-il des anti-sociologues -comme il y a eu des anti-psychiatres) pour pointer que des objets résistant à cette visée appartiennent nécessairement à des paradigmes différents ? Ainsi des "mondes de vie" évoqués par la philosophie allemande contemporaine, du "local", ou du "familier", dont on peut légitimement penser qu'ils cherchent à échapper à une conception qui les immerge d'office dans l'unité et l'unicité (voire dans l’unaire : univers « acosmique » qu’on ne peut comparer ni penser) . Il peut sembler aujourd'hui, au vu des menaces que comporte pour les êtres humains la consolidation d'une culture unique à la surface de la planète, que le monopole de l'étude des "faits sociaux" par la sociologie est voué à la contradiction et à l'éclatement. Le sociologue n'est en effet plus habilité à parler "de tout ce qui relève du social". Il doit considérer que son objet spécial (qui est plutôt "le sociétal") est lui-même un enjeu politique pour l'avenir et peut être remis en cause. Il n'est pas certain que des disciplines s'appuyant sur d'autres points de vue (comme celui du monde familier) relèvent encore de la sociologie et ne doivent pas s'y opposer pour faire valoir leur approche. Cette discipline séculaire qui a participé à la création de la totalité actuelle pourrait donc être amenée rapidement (dans le conflit d'idées) à découvrir ses propres limites, à mesure que la société-monde devra découvrir, pour être supportable, de nouvelles formes de la pluralité.
Voir aussi : antisociologie, Bourdieu

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