Manuel d'anti-sociologie/anti-sociology textbook

 norber heguy
Lundi 5 Septembre 2011

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La única forma de liberarse de la ciencias sociales y de la sociologia, es tomar por el camino del pensamiento schopenhaueriano, y comprender que el proceso de individuación (subjetivación al decir de Foucault) no es mas que un fenómeno antropológico que la ciencia no puede explicar. En algo lo continúa Nietszche, con la voluntad de poder. Cuando Gilles Deleuze habla del proceso de construcción de la indivfiduación en el cuerpo sin órganoscon y hace referencia a la sperficie disyuntiva en la que interviente el deseo. Abre la posibilidad de explicar al individuo y a la soledad, es el momento en que se produce la formación de codigos grupales con sus tres formas, de la tierra, del dépota y del capitalqt[
 Denis Duclos
Mercredi 19 Octobre 2011

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Pour répondre à Norber Heguy, je me servirai un peu (mais pas trop) de Bourdieu : je crois hélas que 'l'individu" et le"sujet" sont d'abord des constructions symboliques, des effets de jeux stratégiques qui servent aux agents sociaux (que nous sommes tous) à croire qu'ils existent pour un Autre sociétal idéalisé, ce qui leur donne droit, les autorise à parler en leur nom (sans se souvenir que leur nom leur a été donné par des contextes sociaux et historiques), et à emprunter cette position pour se battre contre les autres. Schopenhauer ne semble pas éloigné d'admettre la guerre de tous contre tous -où l'emportent peu à peu les Capitalistes possédant l'objet de distinction par excellence -l'argent-.. Dans un monde où ceux-ci réalisent la croyance que l'être c'est l'avoir, tous les autres ne sont plus rien.
Mais ayant tout pris aux autres(actifs improductifs et productifs), pour tout flamber dans la Perte, que leur (nous) reste-t-il ? Eh bien, un peu à la différence de Schopenhauer et de Freud, je ne crois pas qu'il ne reste que la sexualité, sauf à la concevoir comme suit ,sans la dénigrer : Elle représente un retour obligatoire à une relation entre quelques individus qui doivent se reconnaître comme singularités, et pas seulement comme rôles; elle a tout de même à voir avec la situation de rencontre avec les nouveaux-venus (les enfants); elle contient certes une "instinctualité" animale, mais qui a mémorisé les millions d'années d'expérience de la socialité du primate, et pas seulement le mécanisme reproducteur; elle crée un univers familier qui l'imite l'extension indéfinie du pouvoir, du marché et de son fétichisme. Elle ouvre non pas seulement un intermède de plaisir aux souffrances, mais aussi une perspective de contre-pouvoir aux pyramides sociales et économiques monstrueuses du Sociétal. A condition de la soutenir par une anti-sociologie (ou une anti-syndémologie) qui serait aussi l'avocate d'une "émiologie" (construite sur "oi emioi", les miens, en grec; et de ce point de vue, le caniche de Schopenhauer ne nous suffit pas). Cela dit, le mythe productif et aventureux du sujet seul (qui n'est pas seulement mythe manipulable pour la domination, là Bourdieu va trop loin, et ne peut plus arrêter son sport de combat critique contre tous et chacun) peut continuer dans ce nouveau contexte, avec plus de volume: une "ipséologie" peut s'argumenter et s'enrichir en quittant la posture de l'être-à-la-mort (commune aux textes heideggeriens et aux casquettes des officiers SS), dans l'entre-deux Sociétal/Familier, auxquels viennent s'adjoindre d'autres mondes de jeu. Et plus le sujet se réalise en se divisant entre ces mondes, en leur refusant de s'instituer complètement, et plus
il peut produire sa propre solitude comme accomplissement. Sans, toutefois, se faire d'illusion... sur cette illusion.

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